Tác giả: Pierre Bachelet
Elle a de ces lumiốres au fond des yeux
Qui rendent aveugles ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bờte ou rendent chien
Et si lointaine dans son cur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Elle a de ces maniốres de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette maniốre de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Elle a ces longues mains de dentelliốre
A damner l'õme d'un Werner
Cette silhouette vộnitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas;
Qui rendent aveugles ou amoureux
Elle a des gestes de parfum
Qui rendent bờte ou rendent chien
Et si lointaine dans son cur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Elle a de ces maniốres de ne rien dire
Qui parlent au bout des souvenirs
Cette maniốre de traverser
Quand elle s'en va chez le boucher
Quand elle arrive à ma hauteur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
Les mots pour elle sont sans valeur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Elle a ces longues mains de dentelliốre
A damner l'õme d'un Werner
Cette silhouette vộnitienne
Quand elle se penche à ses persiennes
Ce geste je le sais par cur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
L'amour pour elle est sans valeur
Pour moi c'est sỷr elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas
Et moi je suis tombộ en esclavage
De ce sourire de ce visage
Et je lui dis emmốne moi
Et moi je suis prờt à tous les sillages
Vers d'autres lieux d'autres rivages
Mais elle passe et ne rộpond pas;