Tác giả: Édith Piaf
Vises, mon Jules,
Cette crapule
Qui nous tombe sur les bras.
Depuis le temps
Qu'on l'attend,
Comme une bombe, le voilà.
Le voilà, le printemps,
Tout fleuri de lilas
Qui rapplique en dansant,
En dansant la java.
Le voilà, ce voyou,
Au son d' l'accordéon
Qui court le guilledou
En poussant la chanson.
Entend comme ça chahute
Dans tous les palpitants.
L'hiver se tire des flûtes.
Enfin le printemps...
Ne fais pas la tête.
Tu serais bien bête
De te faire du mouron
Quand sur toute la terre
Flotte un petit air
De révolution.
J'ai sorti pour toi
Ma robe de soie,
Mes colifichets
Pour dormir sur l'herbe
En écoutant tinter les muguets...
Vises, mon Jules,
Cette crapule
Qui nous tombe sur les bras.
Depuis le temps
Qu'on l'attend
Comme une bombe, le voilà.
Le revoilà, le printemps
Tout fleuri de lilas
Qui rapplique en dansant,
En dansant la java.
'y a la foule dans les rues
Qui suit les orphéons,
Des épaules toutes nues
Et du monde au balcon.
C'est la fête aux poètes
Et je t'aime éperduement
Et ça tourne dans ma tête.
Enfin le printemps...
J'ai le vertige dans tes yeux.
Je voltige dans du bleu.
Je vois double et c'est mieux.
Vise mon cœur tout là-haut...
Qui fait du cerf-volant.
Rattrape-le si tu peux,
Mon amour, mon amour
Qui fout le camp...
Enfin le printemps !!!;
Cette crapule
Qui nous tombe sur les bras.
Depuis le temps
Qu'on l'attend,
Comme une bombe, le voilà.
Le voilà, le printemps,
Tout fleuri de lilas
Qui rapplique en dansant,
En dansant la java.
Le voilà, ce voyou,
Au son d' l'accordéon
Qui court le guilledou
En poussant la chanson.
Entend comme ça chahute
Dans tous les palpitants.
L'hiver se tire des flûtes.
Enfin le printemps...
Ne fais pas la tête.
Tu serais bien bête
De te faire du mouron
Quand sur toute la terre
Flotte un petit air
De révolution.
J'ai sorti pour toi
Ma robe de soie,
Mes colifichets
Pour dormir sur l'herbe
En écoutant tinter les muguets...
Vises, mon Jules,
Cette crapule
Qui nous tombe sur les bras.
Depuis le temps
Qu'on l'attend
Comme une bombe, le voilà.
Le revoilà, le printemps
Tout fleuri de lilas
Qui rapplique en dansant,
En dansant la java.
'y a la foule dans les rues
Qui suit les orphéons,
Des épaules toutes nues
Et du monde au balcon.
C'est la fête aux poètes
Et je t'aime éperduement
Et ça tourne dans ma tête.
Enfin le printemps...
J'ai le vertige dans tes yeux.
Je voltige dans du bleu.
Je vois double et c'est mieux.
Vise mon cœur tout là-haut...
Qui fait du cerf-volant.
Rattrape-le si tu peux,
Mon amour, mon amour
Qui fout le camp...
Enfin le printemps !!!;